Le laboratoire MAP-Aria accueille régulièrement, et tout au long de l’année, des stagiaires dans le cadre d’actions d’initiations à la recherche sur des sujets développés par les équipes du MAP.

2023 - 2024

  • Manuel Grosset, étudiant de Master 1 de l’ENSAL, poursuit les recherches sur le projet Cobotique.
  • Claudine Lasne, étudiante en Master 1 au sein du DEM Héritages, Théories et Création (HTC) de l’ENSAL, intègre le projet de restitution des charpentes de Notre-Dame dans la perspective de développer une maquette augmentée mixant modèles physiques et projections de données multidimensionnelles.
  • Agathe Barbery, étudiante de M1 au sein du DEM Héritages, Théories et Création (HTC) de l’ENSAL, participe à la réalisation de l’Opus II, second volume du rapport d’étonnement sur le site archéologique de la Plaine de Syam, en lien avec des archéologues et historiens.
  • Azel Laalej et Inès Achrouf rejoignent le projet IMU Ports Romains. Inès travaillera avec Rémi Fabro à la reconstitution des dispositifs de climatisation passive des horrea (dépôts de grain) ; Azel étudiera avec Stéphanie Mailleur la possible factorisation morphologique des bâtiments et équipements, afin d’alimenter un modeleur génératif pour la reconstitution des ensembles portuaires.
  • Louis Le Bretton, ingénieur ENTPE et étudiant de M2 de l’ENSAL, développe une interface mixte physique et numérique pour la modélisation de l’emprise des ports, dans le cadre du studio IMU.

2022 - 2023

  • Kenza Marino, étudiante en master 2, participe au projet GenH2arch et plus particulièrement sur la description fonctionnelle de projets d’architecture dans un formalisme graphe et évolutif à partir d’une base de données de plus 350 projets réalisées par l’agence AIA.
  • Louna Ghanem, étudiante en master 1 Patrimoine – Architecture – Mondialisation à Lyon 1, rejoint le le Studio IMU Ports romains. Elle  valorisera notamment les activités de recherche menées dans ce projet. Elle préparera également un atelier pour les Journées Européennes de l’Archéologie de Juin 2023.
  • Olivia Guizonnier et Baptiste Rossi, étudiants de Master 1, et Manuel Grosset, étudiant de Licence 3 de l’ENSAL, rejoignent le projet Cobotique porté par Ilias Poutsiakas, maintenant architecte DE. Ils développeront un projet commun autour du bras robotisé pour la conception en architecture et design, avant de porter leur propre projet en vue d’un travail de recherche personnel ultérieur. Les trois se sont formés à la modélisation graphique sur Rhino et Grasshopper, au développement et fabrication de contrôleurs Arduino pour le pilotage des outils portés par le robot, et à la programmation du robot lui-même.

2020 - 2021

  • Alexandra Stoleru, étudiante en master 2, continue sa collaboration avec MAP-Aria et rejoint le projet LINKS qui vise à regrouper, sur une même plateforme, les données multidisciplinaires recueillies par l’ensemble des équipes travaillant sur les églises rupestres médiévales d’Éthiopie, afin d’en faire, notamment, un outil permettant la comparaison des églises entre elles d’un point de vue historique et artistique, et un suivi de leur état de conservation.
  • Marwa Khalil, étudiante en master 2, prend la suite du projet de réalisation d’une application interactive en réalité virtuelle pour la visualisation et le partage d’informations par l’intermédiaire de la restitution virtuelle des charpentes de Notre-Dame de Paris.
  • Hong Nguyen, ingénieur de l’INSA de Lyon, qui avait débuté son stage au printemps 2020, prolonge son travail sur le deep learning pour la reconstruction 3D grâce à des vacations recherche du Ministère de la Culture.
  • Ilias Poutsiakas, étudiant de master 1, insère ses travaux dans l’axe Cobotique, étend les capacités du robot 6 axes, et envisage d’expérimenter la fabrication de “micro-climats” adaptés à l’installation de matière vivante (algues, champignons, plantules) sur un substrat 3D. Les capteurs embarqués aideront le robot à décider des implantations des germes. Au-delà de l’installation visée à la fin du stage, Ilias questionne la possibilité de modèles de conception durable hors des schémas classiques de l’éco-conception des établissements humains.

2019 - 2020

  • Elisabeth Sulmont et François Pacquelet, étudiants de master 1, prennent la suite de l’initiative en cobotique “CFA°BR : CFAO & Bras Robotisé pour la Conception Architecturale”. Elisabeth observera plutôt les expérimentations sous l’angle des stratégies de conception et du dialogue concepteur-robot. François envisage des techniques d’auto-apprentissage du bras robotisé pour l’adaptation de ses mouvements au comportement du matériau déposé. Ils sont assistés de Maxime Fouillat, étudiant de licence 2, qui traite des questions d’électronique (capteurs, cartes Arduino, programmation).
  • Romane Locatelli, étudiante de master 1, encadrée par Xavier Marsault et Hervé Lequay, étudie la mise en application de Ecogen dans une pratique régulière d’agence. A cette fin, son stage de 4 mois se déroule pour moitié au sein du laboratoire, pour moitié au sein de l’agence d’architecture et d’ingénierie NOVæ, à Lyon, qui développe des pratiques d’écoconception en co-ingénierie. Elle y observe les pratiques de conduite de projet et d’ingénierie aux échelles urbaine et architecturale, instrumentées ou non par Ecogen, afin de définir le cahier des charges d’une maturation d’Ecogen vers une version opérationnelle.
  • Hong Nguyen, ingénieur de l’INSA de Lyon, étudiante de master 1 à l’ENSAL, inscrit son stage et son mémoire dans la thématique des applications de l’intelligence artificielle pour l’aide à la conception architecturale, dont le deep learning (apprentissage profond) représente un sous-domaine en plein essor. L’enjeu pour le MAP consiste en une intégration progressive du deep learning à ses outils d’analyse et de conception, dans une logique d’apprentissage par l’expérience, tenant compte de résultats de projets déjà réalisés et évalués.
    Plus précisément, Hong étudie en profondeur la structure de la librairie Kaolin de Nvidia, parue en novembre 2019 pour favoriser et simplifier les applications du deep learning à des ensembles de données d’objets 3D, de nature variée (meshs, voxels, point clouds, etc.). Le stage, encadré par Xavier Marsault, vise à explorer les différentes techniques algorithmiques proposées par Kaolin, en insistant plus sur les méthodes de resynthèse et de génération de formes architecturales.
  • Anouar Ouro-Sao, étudiant de master recherche “Management des technologies interactives 3D” de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers de Cluny, réalise une application interactive en réalité virtuelle pour la visualisation et le partage du système d’information développé autour du modèle numérique de la charpente de Notre-Dame de Paris. Il est encadré par Kévin Jacquot.

2018 - 2019

  • Manon Dampfhoffer, étudiante en master 2 de l’ENSIMAG, effectue à partir d’avril son stage de fin d’étude durant cinq mois, encadrée par Xavier Marsault. Les deux premiers mois sont consacrés à l’initiative collective du MAP (Aria et Maacc) « voies d’exploration du deep-learning pour l’aide à la conception architecturale ». Il s’agit de dresser un panorama des techniques fondamentales, de constituer une base de référence des logiciels, des API, des matériels dédiés aux développements, et des principales expérimentations et applications). Elle sera illustrée par quelques possibilités de réalisation sur des problèmes de recherche qui intéressent le laboratoire. Les trois autres mois seront consacrés au logiciel EcoGen, avec comme objectif de revoir l’algorithme génétique (qui date de 2014) en partant sur un nouveau modèle de type MOEA-D de Zhang. Le but étant d’en améliorer sensiblement la convergence et la diversité, tout en conservant les possibilités d’interaction développées avec l’algorithme actuel.
  • Chloé Blanc, Naomi Pereira, Antoine Chevalier, étudiants de master 1, collaborent avec Raphaël Masbernat, Églantine Bigot-Doll et Hervé Lequay sur l’initiative collective en cobotique “CFA°BR : CFAO & Bras Robotisé pour la Conception Architecturale”. La première phase, expérientielle, combine les savoirs et savoir-faire des enseignants et chercheurs du MAP-Aria et du MAP-MAACC. La manipulation envisagée interroge les liens techniques et sensibles qui coexistent entre conception et matière au travers de boucles de rétroaction opérateur-machine-matière.
  • Théo Zanetti, étudiant de master 2 à l’ENSAL, collabore au projet piloté par François Chambon, de l’association de l’Oppidum, pour répertorier les traces anthropiques de l’oppidum de Chaux-Des-Crotenay, dans le Jura. Il prolonge le travail de Mélissa Coelho, qui a réalisé avec Florent Torres la première phase de cette étude de grande ampleur.
  • Alexandra Stoleru, étudiante de licence 3, collabore avec Kévin Jacquot et Violette Abergel à la construction d’une ontologie de domaine dédiée à la description des traces anthropiques dans les grottes et abris ornés gérés par le Centre National de la Préhistoire. Son stage s’inscrit dans l’écosystème Aïoli.
  • Ginaud Chancoco, étudiant de master 2 à l’ENSAL, est hébergé et co-encadré par le laboratoire pour un stage recherche de deux mois au sein du CEEBIOS (Centre Européen d’Excellence en Biomimétisme de Senlis). Il prend ainsi la suite de Capucine Clément et Omar Naïm. Il rassemble des données quantitatives et qualitatives sur des projets et des édifices bio-inspirés repérés avec Estelle Cruz.
  • Marie Damide, de master 2, étudie avec Kévin Jacquot les tiers-lieux en général et ceux dédiés au patrimoine en particulier, dans le but de contribuer à des techniques alternatives de valorisation du patrimoine urbain.

2017 - 2018

  • Lamia-Solh Kabra, étudiante de master 2 à l’ENSAL, effectue un stage recherche autour des questions de l’intelligence collective urbaine construite par les usagers par l’entremise des technologies numériques. Il s’agit ici d’évaluer l’impact de cette entité émergente sur la gouvernance de la ville. L’étude sera plus précisément centrée sur le périmètre du centre historique de Lyon. Le financement de stage est assuré par le Labex IMU “Intelligence des Mondes Urbains”, et co-encadré par Sylvie Servigne (LIRIS-BD) et par la SERL.
  • Omar Naïm, étudiant de master 1 à l’ENSAL, est hébergé et co-encadré par le laboratoire pour un stage recherche de deux mois au sein du CEEBIOS (Centre Européen d’Excellence en Biomimétisme de Senlis). Il construit un état de l’art autour de l’habitat bio-inspiré. Il est encadré par Estelle Cruz, architecte-ingénieure, doctorante au MECADEV du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris.
  • Capucine Clément, étudiante de master 2 à l’ENSAL, a pris la suite des travaux de Omar Naïm pour le CEEBIOS. Encadrée également par Estelle Cruz, elle contribue à un catalogue raisonné du parallélisme habitat-vivant par l’étude comparative des enveloppes du bâtiment avec les différents téguments rencontrés dans le monde vivant, animal comme végétal.
  • Raphaël Masbernat, étudiant de master 2 de l’ENSAL, centre son stage de recherche sur l’exploration des capacités du robot 6 axes R12 de STRobotics dont le laboratoire a fait l’acquisition en 2014. L’idée est de faire en sorte que le bras réagisse en temps réel au comportement de la matière (béton, terre) qu’il déposerait devant lui, en une boucle de rétroaction. Raphaël envisage d’exposer ce robot sensible lors de son Projet de Fin d’Etude.
  • Ines Portes, Ingénieure géomètre-topographe de l’INSA de Strasbourg, réalise un stage dans le cadre du projet TAG 3D, Défi Imag’in de la Mission pour l’Interdisciplinarité du CNRS. Tag 3D est un projet pluridisciplinaire conduit par MAP-Aria et le LIRIS. Ines amène ses compétences de topographe dans la recherche de solutions innovantes pour l’optimisation des vols des drones. Voir la page du projet ici.
  • Mélissa Coelho, étudiante de master 2 à l’ENSAL, travaille avec François Chambon, de l’association de l’Oppidum, à l’analyse d’un relevé LIDAR de grande dimension pour comprendre la formation du paysage et relever les traces anthropiques qui pourraient y être cachées.
  • Louis Harel, étudiant licencié de l’ENSAL, a choisi pour son année de césure de passer 5 mois au laboratoire pour acquérir des compétences supplémentaires en modélisation et représentation 3D et 4D (Blender, Maya, Unity) et pour participer aux projets en cours. Il a notamment participé à la modélisation de l’église de Saint-Nectaire, sur laquelle Daniel Tardy tente de vérifier l’hypothèse que les chapiteaux historiés sont illuminés, jour après jour, comme un gigantesque calendrier solaire.

2016 - 2017

  • Ari Sebbagh, étudiant de Master 2 de l’ENSAL, réalise un stage recherche dans le cadre du projet TAG 3D, remporté dans le cadre de l’AAP Défi Imag’in de la Mission pour l’Interdisciplinarité du CNRS. Tag 3D est un projet pluridisciplinaire conduit par MAP-Aria et le LIRIS. Ari développe des outils de pilotage des drones DJI, notamment pour la construction rapide de trajectoires optimisées (sphériques ou cylindriques). Voir la page du projet ici.
  • Quentin Perrin, étudiant en Master 1 de l’ENSAL, en double-cursus ingénieur à Centrale Lyon, effectue son stage de parcours recherche au laboratoire de décembre 2016 à septembre 2017, encadré par Violette Abergel, sur les modèles 3D des grottes ornées du Centre National de la Préhistoire.
  • Anaëlle Quillet, étudiante en Master 1 de l’ENSAL, en double-cursus ingénieur à l’ENTPE, effectue son stage de parcours recherche au laboratoire de février 2017 à septembre 2017, encadré par Xavier Marsault, sur la notion d’évolutivité fonctionnelle et formelle appliquée à Ecogen.
  • Aymeric Broyet, étudiant en Master 1 de l’ENSAL, en double-cursus ingénieur à Centrale Lyon, effectue son stage de parcours recherche au laboratoire de février 2017 à septembre 2017, encadré par Xavier Marsault, sur l’introduction d’une Analyse de Cycle de Vie dans les moteurs d’évaluation d’Ecogen.

2013 - 2014

  • Violette Abergel, étudiante en Master 2 de l’ENSAL, effectue son stage de parcours recherche au laboratoire de mai à septembre 2014, encadrée par Hervé Lequay. Dans le cadre de la suite du projet ANR EcCoGen, elle étudie des modes alternatifs de représentation des solutions générées par le logiciel, susceptibles de faciliter l’interprétation des performances atteintes. En effet, la représentation actuelle par voxels peut véhiculer, pour l’architecte qui les manipule, l’image d’un langage architectural et d’une matérialité très connotés, voire datés, malgré les réminiscences que l’on peut retrouver dans des productions architecturales très actuelles. Cette lecture “esthétique” et subjective des solutions peut porter préjudice à leur acceptation par le concepteur-opérateur comme solutions à fort potentiel (tant sur le plan des performances que sur le plan de l’esthétique). La difficulté réside dans la nécessité de représenter spatialement les solutions en laissant l’architecte seul interpréter ces “volumes capables” dans son propre langage architectonique. Son mémoire de recherche sur la réalité mixte pour la médiation en architecture lui vaut de d’imaginer et de développer, en tant qu’ingénieur d’étude CNRS, le système KIVI de visualisation immersive d’objets patrimoniaux numérisés dans le cadre des travaux du MAP.
  • Sébastien Petit, étudiant en Master 1 de l’ENSAL, effectue son stage de parcours recherche au laboratoire de juin à septembre 2014, encadré par Renato Saleri. Il contribue aux travaux sur la modélisation générative de géométries urbaines, au développement de la plateforme Drones, et participe à des campagnes de prise de vue (Keith Haring, notamment).

2011

  • Florian Mignot, étudiant en Master 1 de l’ENSAL, effectue son stage de parcours recherche au laboratoire de juin à septembre 2011, encadré par Hervé Lequay. Il participe au projet ANR EcCoGen, en réalisant un état des lieux des outils logiciels publics dits d’ “assistance à la conception” afin de sélectionner la plate-forme d’accueil des développements envisagés dans le cadre d’EcCoGen, puis en recensant les codes et moteurs d’évaluation énergétique des bâtiments potentiellement disponibles pour une intégration dans les moteurs génératifs que nous construirons. Parallèlement, il développe son mémoire de recherche, autour d’une question qui intéresse également le projet EcCoGen, orienté créativité et interface homme-machine : “Fluidifier le processus de morphogenèse en phase amont de projet architectural : une interface tangible pour la conception de formes”.
  • Florent Torres, étudiant en Master 1 à l’ENSA de Montpellier, effectue son stage de parcours recherche au laboratoire de juin à octobre 2011, encadré par Hervé Lequay. Il participe au projet ANR EcCoGen, en développant un environnement Rhino + Grasshopper + Galapagos dédié à la conception de morphotypes architecturaux. Ces morphotypes, envisagés comme stratégies de conception de formes, sont destinés à être utilisés par des étudiants expérimentateurs pour évaluer si la créativité peut être amplifiée ou bridée par les outils génératifs développés pour EcCoGen. Toujours pour EcCoGen, il collabore avec Renato Saleri pour développer un prototype d’IGA (Interactive Genetic Algorithm) qui sera déployé en octobre 2011 au MAP-Crai à Nancy, dans le cadre d’une expérimentation en situation pédagogique observée par le laboratoire Codisant-Sicom, partenaire du projet. Cet IGA couple des moteurs génératifs et des IMH développés en Processing et des fonctions d’évaluation et de visualisation 3D codées par Florent en Rhino + Grasshopper.

2010

  • Thibault Romany, étudiant en Master 2 de l’ENSAL, a travaillé durant l’année 2010 sur un mémoire intitulé “Quelle(s) méthode(s) mettre en oeuvre pour aborder le design en architecture et en urbanisme suivant le paradigme de la pensée complexe ?”. Il a ensuite effectué son stage de parcours recherche au laboratoire de juin à septembre 2010, encadré par Xavier Marsault.
    La première partie de son travail a consisté à recueillir des informations permettant d’établir une application d’aide à la décision basée sur un algorithme multi-agent. Ces informations sont de l’ordre de l’état de l’art sur l’usage des systèmes multi-agents, avec une approche interdisciplinaire ; puis d’un apprentissage concernant l’utilisation d’une plateforme de modélisation multi-agents : RePast.
    La seconde partie de ce travail a concerné la construction d’un modèle multi-agent répondant à une demande formulée par l’agence d’architecture et d’urbanisme INterland, partenaire historique du laboratoire MAP-Aria de manière à évaluer les simulations produites dans une situation réelle d’assistance à la conception. L’objectif est de questionner la capacité de cette classe d’algorithme à générer un espace de négociation et d’aide à la décision à travers son utilisation dans une situation concrète.
    Le document de synthèse regroupant le mémoire et la soutenance de stage est disponible ici.